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La pollution intérieure

Pollution intérieure : 1 logement sur 2 est contaminé par des polluants dans l'air… Mais seuls 15 % des Français en ont conscience

L'Observatoire de la qualité de l'air intérieur a révélé[1] que plus d'un logement sur deux en France est contaminé par des polluants dans l'air. En cause : les pollutions perceptibles telles les odeurs, l'humidité, les fumées de tabac et de cuisson, mais plus encore les pollutions cachées : allergènes, Composés Organiques Volatils (COV) présents dans les produits d'entretien, les meubles et les matériaux de construction, monoxyde de carbone produit par les systèmes de chauffage et de cuisson…

Aldes, groupe international français, expert en solutions intégrées dédiées à la qualité de l'air dans les bâtiments et à la santé des personnes, a mené une étude[2] en France auprès de particuliers, sur leur comportement face à cet enjeu de santé publique en termes de préoccupations et d'informations.

Résultats :

  • 32 % des Français estiment que l'air extérieur est de mauvaise qualité mais seuls 15 % pensent que l'air qu'ils respirent dans leur habitat est mauvais.
  • Les particules fines et le pollen sont considérés comme les principaux polluants venant de l'extérieur.
  • Pour la majorité, la qualité de l'air intérieur n'a aucun impact sur leur habitat et leur santé, exception faite des problèmes d'humidité et de condensation.
  • Seulement 42 % des Français se déclarent être équipés de ventilation centralisée.

Ces deux études montrent conjointement le manque d'information des consommateurs sur les problématiques de qualité d'air intérieur – et leurs conséquences – et sur les solutions pour y remédier.

Selon l'Institut National de Prévention et d'Éducation pour la Santé (INPES), il est recommandé d'ouvrir les fenêtres 10 minutes par jour, été comme hiver, pour combattre une mauvaise qualité d'air intérieur.

Cependant, pour lutter contre l'effet de confinement, l'air intérieur devrait être complètement renouvelé toutes les 3 heures environ, dans toutes les pièces, et en filtrant l'air extérieur entrant dans le logement.

Ouvrir les fenêtres est donc un geste utile, mais néanmoins insuffisant pour garantir un air sain toute la journée et dans toutes les pièces de la maison, et ainsi réduire le risque d'allergie respiratoire.

Une étude récente[3] sur 120 logements a montré que le taux de polluants est jusqu'à 2 fois moins élevé dans un logement équipé d'une ventilation double flux. Garantir un air sain chez soi nécessite un renouvellement d'air permanent. Pour cela, les systèmes de ventilation, et plus spécifiquement les double-flux, sont aujourd'hui les seuls permettant une purification de l'air intérieur centralisée en continu, libérant les pièces de vie des polluants, perceptibles comme cachés. Équipements de ventilation pour le neuf ou la rénovation, pour un appartement ou une villa, couplés à un système de chauffage ou de rafraîchissement… des solutions existent déjà pour toutes les configurations de logement.

En 2016, Aldes a réalisé des tests pour mesurer et comparer le niveau de polluants présents tout au long de la journée dans l'air d'une maison de ville occupée par une famille de 5 personnes.

  • La 1ère semaine, la maison ne disposait d'aucun système de ventilation, ni de purification d'air.
  • La 2e semaine, la solution de purification d'air centralisée InspirAIR® Home était installée dans la maison.

A l'issue des deux semaines, les résultats obtenus ont permis de mettre en évidence les chiffres suivants :

  • Taux de COV

    InspirAIR® Home permet de diviser par 2 le taux de COV par rapport à la maison non ventilée.

  • Taux d'humidité

    InspirAIR® Home permet de réduire le taux d'humidité jusqu'à 20 % par rapport à la maison non ventilée.

  • Taux de CO2

    InspirAIR® Home permet de réduire jusqu'à 50 % le taux de CO2 par rapport à la maison non ventilée.

  • Taux de PM2.5

    InspirAIR® Home permet de réduire jusqu'à 60 % le taux de particules fines PM2.5 par rapport à la maison non ventilée.

  1. [1] Etude OQAI, 2015
  2. [2] L'étude porte sur un échantillon global de 1 012 répondants en France, âgés de 18 ans et plus, propriétaires (ou en recherche active) de leur résidence principale (maison ou appartement). Le questionnaire, mis en ligne sur Internet, a été administré en décembre 2014.
  3. [3] Etude Monicair sur 120 logements, 2014.