Chez Aldes, nous croyons que la qualité de l'air intérieur est essentielle pour créer des environnements de travail plus sains. En effet le bureau est le deuxième lieu où les personnes actives passent le plus de temps, après leur logement.

Souvent, l'air respiré dans les bureaux est chargé de polluants générés par les émissions de CO2, les produits de nettoyage, les odeurs, les meubles et les fournitures de bureau.

Combinés à une ventilation insuffisante, un bruit excessif et un éclairage médiocre, ils peuvent provoquer le "syndrome des bâtiments malsains" ou SBM.

Ce syndrome peut déclencher certains symptômes tels que maux de tête, léthargie, irritation de la peau et des yeux, qui en plus de l'inconfort qu'ils génèrent chez les salariés, influence également inévitablement leur rythme de travail et donc leur productivité.

Cependant, il est possible de réduire le SBM jusqu'à 50% (1) et d'augmenter les performances des travailleurs jusqu'à 61% (2) en améliorant la qualité de l'air intérieur et les conditions de l'environnement de travail, en jouant sur le débit et en contrôlant le taux de CO² dans l'air ambiant.

Une des solutions qui peut contribuer à améliorer la qualité de l'environnement est le renouvellement constant de l'air vicié par de l'air pur, une température adaptée aux besoins de chaque espace et l'affectation des activités les plus bruyantes à des pièces spécifiques pour obtenir un plus grand confort acoustique.

Après le domicile, les personnes actives passent la majeure partie de leur temps dans des bureaux.

Les polluants émis par les rejets de CO2, les fournitures de bureau, les photocopieuses, les sols et les murs, associés à un renouvellement d’air souvent insuffisant peuvent engendrer le syndrome du bâtiment malsain également connu sous le nom de SBM.

Ce syndrome peut entrainer une léthargie, des maux de tête, une irritation cutanée et une irritation des yeux.

Outre la gêne occasionnée pour les occupants, cette situation conduit inévitablement à ralentir le rythme et la vie de l’entreprise.

Ce syndrome SBM peut, cependant, être réduit jusqu’à 50%(1) si l’air intérieur et l’environnement de travail est amélioré.

Et travailler dans un bureau bien ventilé contribue à augmenter la performance jusqu'à 61%(2).

 

la qualité de l'air dans les bureaux

Réglementation et labels

68% des certifications environnementales (HQE, BREEAM, LEED) concernent des bureaux(3).

Pour ces bureaux modernes et performants, Aldes propose des solutions dotées de performances exceptionnelles en consommation énergétique, et sont couplées à une faible emprise au sol, permettant ainsi l'autofinancement de la centrale(4), la réduction des coûts, et donc une meilleure profitabilité.

33%

Des occupants de bureaux ne sont pas satisfaits de la température ambiante.

850 ppm

Quand le CO2 dépasse les 850 ppm, les syndrômes du bâtiment malsain augmentent.

30%

Des bureaux ont un taux de benzène supérieur à la valeur guide (2 µg / m3 ) de l’ANSES.

Hausse de 18%

Avec une augmentation du débit d’air de 34 m3 /h/personne, la performance cognitive des employés est améliorée de 18%.

(1) Intelligent Buildings : Design, Management and Operation, Derek Clements-Croome, 2004.(2) Associations of Cognitive Function Scores with Carbon Dioxide, Ventilation, and Volatile Organic Compound Exposures in Office Workers: A Controlled Exposure Study of Green and Conventional Office Environments; Joseph Allen et al., 2016(3)  Chiffres France.(4) Calcul réalisé en comparatif des m² occupés par un VEX600 vs une centrale standard du marché enconfiguration horizontale d’une même taille, gaines comprises, basé sur le prix moyen m² en France (1500 €/m²)